dans la peau de ...

Aileen n'en revenait pas. Elle l'une des plus grandes humoriste du château, elle la spécialiste en blagues ( un peu de mauvais goût certe ) venait de se faire traiter de "débutante dans le noble art" par Peeves. Elle était scandalisé ! Elle allait lui montrer à ce fantôme de pacotille si elle était une débutante en matière de farces ! Restait à savoir comment...
Elle devait créé le coup le plus fantastique de toute l'histoire du château. En plus de rabattre son clapets a Peeves, elle obtiendrait la popularité au sein des élèves ET du professorat !
Elle allait a tous leur montrer qu'elle était plus que rusé, qu'elle était un serpent ! Et tout le monde c'est qu'enerver un serpent n'est pas une bonne idée !
Elle avait trouver son plan afin de prouver à cet esprit énervant qu'elle était TOUT sauf "débutante dans le noble art" et elle allait le mettre en exécution pas plus tard que maintenant !

* La Serpentard courait (une fois n'est pas coutume hein) à travers l'un des nombreux couloirs du château. Elle venait de faire quelque chose de... peu conventionnel. Avec un peu de chance, elle avait semer ses victimes. Enfin victimes... Oui, bon, ne jouons pas avec les mots !

Aileen était vraiment d'humeur taquine aujourd'hui et il se pourrait qu'elle ait fait apparaitre un ou deux serpents dans la bibliothèque. Elle trouvait que le lieu était trop calme (normal pour une bibliothèque me direz-vous) et de voir tous ces élèves aussi studieux alors que la rentrée n'avait eu lieu qu'il y a deux semaines lui était pénible. Elle voulait leur rappeler qu'il fallait s'amuser un peu. Oui, ok, des serpents ce n'est pas très fun mais... bref ! Il fallait croire que la majorité des Serdaigle présents dans la bibliothèque n'aimaient pas les vipères. Elles étaient mignonnes pourtant !

C'est ainsi qu'elle se retrouva à courir pour éviter que les bibliothécaires, une préfète de Serdaigle, le professeur de potion et quelques élèves ne la rattrapent pour lui faire payer son méfait. Ils n'avaient vraiment aucun humour ici ! *

Suite au défi lancé au Trick or Treat... * Clémentine affait bien du mal à frefter calmfe, apfrès cette pfraline longue langue qu'elle ffenait d'affaler tout frond ! Ô frage, Ô défsfespfoir, Ô maléfffices du Trfick ofr Tfreat ennemis ! La voilà qui parlait comme si sa langue avait doublé de volume... Mais, attendez, qu'apercevait-elle, dans le reflet de cette vitre, devant cette fenêtre, ce miroir dans lequel elle se voyait ? Etait-ce bien elle ? Oui, sa langue ! Sa langue avait bel et bien doublé – que dis-je ? – triplé ! – mais encore ? – quadruplé de volume ! C'en était fini de sa dignité ! * Arlflffèdffhe ! Qfue quuelfqfkfkin me fffviènfe en aiffffdffe ! Chffve nepffeuchx pffflchus paffler !* * Mais f'était – heu – c'était cause perdu. Les quelques élèves qui passaient dans les couloirs du château, entre deux toctocage de porte et pressés de retourner à leur tournée, ne ffaisait pas attention à elle ! La voilà ffinie ! Elle toucha du bout des doigts l'énorme boudin qui lui servait de langue. Peut-être était-ce un avantage ? * Fouif ! Ffrechftfonhf posfitifffchf !** * Rester positif, c'était une chose. Trouver une raison d'adopter ce comportement en était une autre... Qui avait osé dire que les Poufsouffles manquaient de créativité ? Elle trouverait une raison de tourner la situation à son avantage. Alors qu'un élève, tout joyeux de sa récolte abondante de bonbons, passait devant elle, elle l'attrapa par les épaules et lui cria – le postillonna serait le terme plus exact – dessus : * FTFOI ! FTDONNFE MFOI TCHFÉ BFFFONBFHON !*** * Sur ces dires très compréhensibles, le petit première année pris peur et envoya une poignée de friandises sur la tête de Clémentine avant de s'enfuir à toute jambe. Celle-ci, qui ne demandait que ça, – au cas où vous ne l'auriez pas compris – pris les bonbons avec joie. Voilà le côté positif d'avoir une langue quatre fois supérieur à la moyenne : elle sentait bien plus le bon goût des bonbons ! Elle allait se régaler ! Et après, elle irait faire sa fête à la professeure qui avait osé lui donner cette praline. * *A l'aide, que quelqu'un me vienne en aide, je ne peux plus parler **Oui, restons positif ***Toi, donne-moi tes bonbons

Matka venait de se réveiller en sursaut. Son reveil n'avait pas sonné et ses camarades de dortoir ne l'avait même pas réveiller. Les élèves de Uagadou l'aurais fait sans hésiter. Mais elle n'étais plus dans son école, elle était à Poudlard chez les serpents. Elle n'avait pas le temps de réfléchir à tous ça, il fallait qu'elle arrive à l'heure à son cours de métamorphose. Elle s'était promis d'être organisé et donc d'arriver à l'heure à tous ces cours bien que ce ne soit, pour l'instant, pas sa plus grande réussite. Elle se prépara en vitesse tout en maudissant son réveil. Les élèves internationaux devaient faire bonne impression. Il était hors de question qu'elle soit en retard. Elle sortit de la salle commune des serpentards vide et traversa les couloirs. Essouflée, elle arriva enfin en salle de métamorphose ou le cours allait débutait.

Dans la peau de...

Dans la peau de ...

Marchant distraitement dans les couloirs, Elea pensait à Catherine. Il était clair qu'elle n'allait pas aussi bien qu'elle le prétendait et l'épisode de la veille le prouvait. Que pouvait-elle faire pour l'aider ? Elles avaient déjà traverser tant de choses ensemble que les cauchemars de la jeune femme semblaient bien pâle, comparé à leurs premiers émois. L'architecte repensa aux baguettes que sa compagne avait désespérément cherchait, dans le but de les détruire. Ces deux bouts de bois, presque insignifiants, mais qui portaient en eux le souvenir des êtres chers que la Québécoise avait perdu. Ce souvenir qu'elle voulait effacer à jamais.

Elle va le regretter, je ne peux pas la laisser faire ça.

Adressant la parole à un interlocuteur invisible, Elea pressa le pas. Elle avait du travail, beaucoup de travail.

Elea était fatiguée ! Elle aurait voulu se poser un peu. En ce moment, elle était comme une pile électrique ! Elle ne se posait pas même le soir quand elle retrouver Catherine. L'islandaise chassa cette pensée de ces idées. Elle allait finir en retard à sa réunion et elle n'aimait pas ça ! L'architecte tentait de s'occuper l'esprit avec ces innombrables idées et projets pour son métier et tenter de chasser Catherine de ces pensées. Elle n'y arrivait pas. Ce soir, il faudrait vraiment qu'elle lui parle. Mais avant cela, il fallait vraiment que l'islandaise se dépêche d'arriver à sa réunion. Elle avait déjà suffisamment de travail pour avoir à reporter la réunion.

Mais il y en avait un monde dans les couloirs ce soir !

Nox n'arrêtait pas de croiser des gens et de s'arrêter pour parler quelques minutes avec ceux de ses camarades avec lesquels elle avait un semblant de relation amicale.

Elle disait qu'ils n'étaient pas si nombreux que ça, c'était un peu sa faute, sa manie de passer tellement de temps dans ses livres, les gens se décourageaient à la fin !

Elle cherchait sa cousine, Eloïse Euston, cela faisait quelques jours qu'elle ne l'avait pas vue, même au dortoir, mais il fallait dire qu'elles n'avaient pas vraiment les mêmes horaires.

Et une fois qu'elle fermait les yeux, Nox n'entendait plus rien. Les deux poufsouffle avaient découvert qu'elles étaient cousines à Poudlard, et depuis, elles cherchaient à éclaircir ce mystère familial.

Mais avec tout ce monde dans les couloirs, Nox ne parvenait pas à voir si elle était là. Il fallait dire qu'elle n'était pas très grande.

Elle entra dans une salle où les gens jouaient et interpella un groupe de juan es et noirs qui disputaient une partie.

- Vous n'auriez pas vu Eloïse par hasard ?

Trois haussements d'épaules plus tard, ça devait vouloir dire non, elle repartit vers la Grande Salle.

Quel monde il y avait, aujourd'hui, dans les couloirs... Elea dépassait beaucoup d'élèves en taille, et même ainsi, elle n'arrivait pas toujours à s'y retrouver. L'ancienne photographe traversait Poudlard en cette soirée, fatiguée de sa journée. L'islandaise venait de terminer une réunion avec les architectes qui semblait pourtant interminable ! Mais elle était là, la mystérieuse Loohest, et elle partait dormir. Fatiguée. Elle soupira. Elea devrait repousser la réunion de demain, elle était trop crevée pour s'y rendre... Que de réunions ! Quelle vie...

* Nox décida de faire un dernier tour dans les couloirs avant d'aller se coucher.

Peut-être retrouverait-elle Eloïse au dortoir finalement ? Mais elle en doutait, l'absence de sa cousine commençait à l'inquiéter, mais Nox était de nature angoissée, il ne fallait donc pas qu'elle se fie trop à ses craintes qui le plus souvent, étaient totalement injustifiées.

Elle croisa tout un tas de gens, comme souvent dans les couloirs du château, il fallait dire que c'était un endroit agréable où on pouvait croiser un maximum de gens, c'est bien pour ça que la poufsouffle y était revenue chercher son amie.

Cette fois ci elle n'interrogea personne, mais elle trouva que les élèves avaient des mines de conspirateurs fatigués, de comploteurs au bout du rouleau, elle n'aurait pas su dire pourquoi.

En tous cas Eloïse n'était pas parmi eux, elle ne cherchait donc pas Elea.

Tiens, pourquoi avait-elle dit ça ? Bref, peu importait, elle allait retourner dans sa salle commune, sinon, elle n'arriverait jamais à se réveiller pour les cours du lendemain. *

* Nox décida de faire un dernier tour dans les couloirs avant de remonter dans le bureau des potions.

Elle adorait cette matière à laquelle elle consacrait beaucoup de son temps et en ce moment, elle avait prévu de descendre dans les cachots pour faire une nouvelle expérience.

Depuis qu'elle était assistante, elle avait accès beaucoup plus facilement au bureau et elle adorait ça.

Elle soulait d'ailleurs régulièrement les autres poufsouffle avec cette matière dont elle parlait particulièrement souvent sur un ton plutôt enthousiaste.

Elle venait de réussir ses examens de passage en 4ème année, et même si elle n'avait pas encore reçu ses notes, elle était ravie, en partie parce que ça lui libérait du temps qu'elle pouvait désormais consacrer aux potions. *

*Phoebe venait tout juste de sortir de la salle de bains des filles en trombe, ne regardait pas où elle allait, et ne se rendit pas compte qu'elle devait tournée, elle se prit un pilier.

Elle prit cinq minutes à se remettre de cette mauvaise rencontre, et se remit en tête son objectif aller avertir un professeur.

Là elle décida de ne plus courir, vu qu'elle allait surement se blesser.

Alors qu'elle marchait, elle arriva dans un couloir où beaucoup d'élèves étaient présents.

Certains la regardait avec un air interrogateur, vu qu'elle était essoufflé.

***

Phoebe reprit son chemin, et arriva à l'angle d'un autre couloir où elle put entendre une conversation entre deux élèves, elle resta caché et écouta. Là elle put entendre que ça parler d'une bêtise et plus précisément d'une vitre cassé, les deux élèves n'étaient pas d'accord s'il fallait dénoncé une personne ou non.

Phoebe comprit que la personne avait été vu. Bon là elle était vraiment dans de peau drap, qu'allait-elle dire aux professeurs?*

RPG avec Eleanor Garnier

* Une nuit sombre, obscure, la lune montre le bout de son nez, un manoir en feu, reculer dans une forêt sombre dont les feuilles ont perdu tous leurs feuillages, un aller désert ou il faut éviter de s'aventurer seul.

Des cris aux loin, des bruits de pas précipités, des ombres qui courent d'une si grande vitesse, poursuivit par d'étranges personnes vêtues de la même façon, c'est une course poursuite, on entend au loin une personne parler au loin "nous devons quitter le pays et ne plus y revenir, sinon ils risqueront de nous retrouver".

"Mais que doit-on faire père ?" "Courez et ne discuter pas", "cela devient trop dangereux !" "Tais-toi Leito et court sans discuter", puis les pas s'approche de plus en plus, Malheureusement, j'ai beau courir, il réussit à me rattraper avec une fille, "Leito, c'est trop dangereux, on a perdu les autres, que faut-il faire ?" "On va se débrouiller, on les rattrapera après."

"Mais Leito, c'est..." , "Calme-toi Rima nous...", derrière nous, les personnes qui nous courant après pointes leurs armes sur nous, "C'est fini, vous êtes morts !"

Je me réveille en sursaut, des gouttes de sueurs coules sur mon front, apeuré Grey mon boursoufle vient sur mon front pour essuyer ma sueur, je le laisse faire, je caresse le dessus de sa tête. *

Karma Fullbuster: Encore ce rêve ? Cela fait deux mois que je fais ce même rêve et j'ignore pourquoi ? C'est si étrange.

* Je regarde autour de moi, le silence, je suis bien dans mon dortoir avec les autres garçons nouveaux Serpentard, ils ont tous au fond de leur lit à dormir à point fermé, c'est un de mes camardes serpe qui s'est réveillé en ayant entendu mes cris.

Il me demande comment je vais bien, je lui dis, en lui expliquant que j'ai faits un cauchemar, mais que ça allais, il me sourit gentiment et me dit qu'il est là s'il y a besoin. Je le remercie, puis il retourne ce coucher, je regarde les rayons de la lune qui se reflète sur la vitre.

J'essaye de me rendormir mes rien à faire, je finis par me lever, habiller sweat-shirt noir, derrière mon sweat-shirt avec le signe du personnage Sasuké Uchiha, un pantalon vert foncé, une veste en cuir noire, mes chaussures montantes noires, mes minettes vertes et ma baguette que je cache dans ma veste.

Je quitte mon dortoir, sort des cachots des Serpentatrd, une fois arrivée dans les couloirs du château, je regarde autour de moi, les coin et recoin des couloirs, vérifiant s'il n'y a personnes ou veilleurs de nuit. *

Karma Fullbuster: Rien à signaler, aller vient Grey, allons nous promener un peu, mais discret.

* Comme chaque soir, Eleanor profitait du sommeil des autres pour faire ce qu'il lui plait. Hier par exemple, elle a exploré la salle d'astronomie de fond en comble et elle y a découvert une famille entière de rats. *

* Ce soir là, Eleanor avait envie de se promener, tout simplement. Elle était habillée avec un sweat à capuche noir, un jean et des baskets, pour pouvoir partir facilement si un adulte se promenait lui aussi dans les couloirs le soir. *

* Elle adorait marcher dans le château le soir, capuche vissée sur le crâne: il y avait du silence et ça lui permettait de réfléchir. *

* Ca faisait une vingtaine de minutes qu'elle marchait en regardant le sol, perdue dans ses pensées, quand elle percuta quelqu'un.
Elle releva rapidement la tête, et s'aperçut avec soulagement que ce n'était qu'un élève. *

* Elle lui sourit faiblement et lui murmura un faible "salut" *

E: salut

* Je me balade tranquillement dans les couloirs, capuche sur la tête, on voit seulement mes yeux orangé brillant, souvent confondu par du jaune doré, mon bousouflet sur mon épaule droit caché dans l'obscurité.

Je me mets en marche une fois après avoir regardé que les couloirs sont vides, je continue de marcher pendant plusieurs minutes quand d'un coup, j'entends tes bruits pas venant de la direction opposée, le bruit vient du côté d'un des tours du château. *

[ Mince si c'est un professeur ou un garde ou un veilleur, je risque d'avoir des ennuis, bon que faire ? ]

* Je me cache un instant dans l'ombre d'un pilier pour voir qu'elle est mystérieuse personne en question qui m'interrompe dans ma promenade, si c'est un Poufsouffle ou un Gryffondor je n'hésite pas à m'occuper de son cas.

Heureusement pour moi, les pas disparaît dans la direction envers, j'ai donc raison, c'est un professeur ou un veilleur de nuit, puis je reprends ma marche, c'est alors qu'une personne me percute, c'est une jeune fille apparemment, de première année en voyant sa taille, en effet cette fille ne fait pas partie de ma maison, c'est sûr, sûrement soit une Poufsouffle, une Gryffondor ou une Serdaigle.

La jeune fille a l'air perdu dans ses pensées, elle relève rapidement la tête, elle a été soulager de voir que c'est un élève qu'elle croise, elle me sourit faiblement est me murmure un "salut", je la regarde un instant, elle a l'air un peu étrange, c'est certainement une Poufsouffle ou une Serdaigle, pensais-je.

Cela m'étonne que ce soit un Gryffondor, il n'est pas aussi stupide que ses deux maisons, finalement je la regarde plus en détail, puis je finis par écarter la faite que c'est une Poufsouffle, si c'en est une, elle ne semblerait pas aussi étrange.

Je la regarde une nouvelle fois avec mes yeux orangés, ensuite je reste muet un instant, Elle a l'air extrêmement simple et tellement commune, par la suite je pose une nouvelle fois mon attention sur elle.
Je fais tout d'abord mine de l'ignoré en regardent les belles vitrées des couloirs et finit par tourner mes yeux orangés et dorée dans sa direction, l'air ennuyer, agacer et prend la parole de ma voix sarcastique, autoritaire, arrogant, ironique, glaçant et confiant. *

Karma Fullbuster: Ouais, salut, on se connaît  toi et moi ?

* Le regard du jeune homme glissa d'elle au baies vitrées du couloir. C'est vrai que la vue était splendide. *

* Il resta muet quelques instants avant de la toiser avec ses yeux d'une couleur bien étrange: un brun tellement clair qu'on l'aurait dit orangé. *

* Il la jugea avec une telle arrogance que le sourire d'Eleanor s'effaça. Comment pouvait-il la regarder avec une telle méchanceté alors qu'ils ne se connaissaient pas? *

[ Mais qu'est ce qu'il a celui là? Si il veut ce battre il faut qu'il le dise tout de suite! ]

* Il la regarda une nouvelle fois de son regard plein de jugement avant de déclarer: *

K:Ouais, salut, on se connaît  toi et moi ?

* Le visage d'Eleanor se ferma. Elle répliqua d'un ton dur, en haussant un sourcil *

E: Non, et vu ton attitude, je préférerais pas

* A mon attitude sarcastique, autoritaire, arrogant, ironique, glaçant et confiant, le sourire de la jeune fille s'efface en un quart-de-seconde, elle a l'air contrarié, ce qui m'amuse tout taux point, je finis par lui balancer un "salut, on se connaît toi et moi ?"

Raison pour laquelle le visage de la jeune fille se ferme, cela me fait bien rire, à retenir, pensais-je de nouveau, cette fille est susceptible, cela confirme bien mes soupçons cette fille est une Serdaigle, je connais déjà un Serdaigle qui est mon meilleur ami d'enfance, Aloïs Faustus, j'ignorais qu'il y a des bleu et bronze aussi ennuyeux. *

[ Cette fille à l'air si ennuyante... ]

* Finalement la jeune fille finit par répondre d'un ton dur en haussant un sourcil, elle rétorque en sortant un "non, et vu mon attitude, elle ne préfère pas me connaître" et bien nous sommes d'accord, alors pourquoi cette fille est venue me parler, elle est bizarre.

Je la regarde une nouvelle fois, toujours la capuche sur ma tête, incline la tête sur la droite, je lui fais ensuite un sourire séducteur, et un peu manipulateur, puis reprend la parole de même voix. *

Karma Fullbuster: Bon c'est vrai mon n'approche n'est pas très sympathique. * Je lui souris une nouvelle fois et reprend. * Mais il me semble que c'est toi qui es venu me parler en premier, alors que je fais ma vie tranquille.

* Je touche une mèche de ses cheveux discrètement que j'enroule autour de mon majeur, je l'examine d'un regard perçant, insistant, hypnotisent, ironique, puis approche mon visage en restant un quelque mètres du sien et finit par un sourire amical tellement faux, d'ailleurs elle ne s'en rend même pas compte et reprend d'une voix arrogante, hautaine et glaçante. *

Karma : Mais en te regardent de plus près, tu es plutôt mignonne, même adorable et si nous oublions ce petit incident de tout ta l'heure et que nous nous présentons comme des gents civilisées.